Electro

Khadyak + Batuk

Le temps d’une semaine, les artistes de Magic Barbès – Utopies prendront possession de vos imaginaires !

  • Vendredi 06/04/2018 à 20:00

FGO-Barbara

1 rue Fleury 75018 Paris

Salle de concert, salle de spectacle (300 places)

Paris 18e arrondissement

MLa ChapelleM 2

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6 €Préventes

Le demi est à 3,50 €

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À propos

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KHADYAK
Auteur et Chanteuse / Chorégraphe / Danseuse et Performer / Mannequin
Elle écrit, chante, danse et rappe : KhadyaK prouve qu'elle est une artiste aux multiples facettes.
Percussioniste et choriste sur la promotion du dernier album d’Adrien Gallo « Gemini », et lors de son concert à la Gaîté Lyrique.
Avant son intérêt pour la musique, Khady de son vrai nom est aussi chorégraphe et danseuse professionnelle pour des artistes comme Asap Rocky, Busy P, Yelle ou Breakbot.
KhadyaK défile comme mannequin pour Hermès, Stella Mc Cartney ou Adidas.
Elle est sollicitée par des artistes comme Azealia Banks pour écrire en français ou pour faire la première partie d’Iggy Azalea.

KhadyaK semble être une machine que l'on ne peut pas arrêter, lancée sur sa route.

https://www.facebook.com/KhadyaK-237760766789/

BATUK
Batuk c’est la réunion de deux artistes hyperactifs : la chanteuse Manteiga et le producteur Spoek Mathambo. En 2016, avec leur premier disque globetrotter, Musica da Terra, ils exploraient les sons de l’Afrique et du monde dans une fusion explosive de house, de soul, de zouk et de musiques traditionnelles africaines. Nouveau décor pour Kasi Royalty : les quartiers de la banlieue de Johannesbourg où ils ont grandi. Kasi c’est un mot d’argot qui désigne le township. Quand un journaliste lui demande si ce n’était pas trop dur de grandir à Reiger Park, Manteiga lui rétorque qu’elle a été une petite fille très heureuse. «Il y a plein d’amour, de bienveillance et de solidarité dans nos quartiers», raconte la chanteuse. « On a voulu rendre hommage à la noblesse, la grandeur d’âme, des habitants des kasis. Notre premier disque parlait du monde. Celui-ci parle de notre monde. » Les kasis sont au coeur de la culture musicale en Afrique du Sud et dressent à travers le pays une carte sonore d’une richesse inégalée. Batuk est allé piocher dans tous ces sons pour les morceaux de Kasi Royalty : le jazz Soweto des années 40 de « Babaloo », le kuduro de « Teka Anthem », en clin d’oeil aux origines mozambicaines de Manteiga, le dub de « I Hang On You » ou la deep house de «Love At First Sight». Plus urbain que le précédent, l’album est aussi largement inspiré par le kwaito, un dérivé sud-africain de la house au tempo plus lent et aux basses profondes. Né dans le township de Soweto, au moment de l’élection de Mandela, le kwaito a servi de bande-son à l’émancipation de la jeunesse noire. Avec son afro-house hybride, Batuk remet le kwaito au goût du jour.

Kasi Royalty c’est un témoignage tendre et nostalgique sur le quotidien de ces quartiers populaires où leur amour pour la musique est né. Un disque où l’on croise Manteiga petite fille, en train de sauter à la corde dans la rue. Elle y raconte les dimanches après-midi d’été où l’on se réunit entre amis dans les parcs de Johannesbourg, avec la glacière, pour danser au son qui s’échappe des co­ res de voiture ouverts («Maak Oop Die Boot»). Batuk veut faire danser car en Afrique du Sud des nouveaux pas de danse sont inventés à tous les coins de rue (« This Move ») et : « en dansant, on sécrète des endorphines qui vous font du bien au moral », rappelle Manteiga.

https://www.facebook.com/batukmusica/

Les artistes

Khadyak

Auteur et Chanteuse / Chorégraphe / Danseuse et Performer / Mannequin
Elle écrit, chante, danse et rappe : KhadyaK prouve qu'elle est une artiste aux multiples facettes.
Percussioniste et choriste sur la promotion du dernier album d’Adrien Gallo « Gemini », et lors de son concert à la Gaîté Lyrique.
Avant son intérêt pour la musique, Khady de son vrai nom est aussi chorégraphe et danseuse professionnelle pour des artistes comme Asap Rocky, Busy P, Yelle ou Breakbot.
KhadyaK défile comme mannequin pour Hermès, Stella Mc Cartney ou Adidas.
Elle est sollicitée par des artistes comme Azealia Banks pour écrire en français ou pour faire la première partie d’Iggy Azalea.

KhadyaK semble être une machine que l'on ne peut pas arrêter, lancée sur sa route

Batuk

Batuk c’est la réunion de deux artistes hyperactifs : la chanteuse Manteiga et le producteur Spoek Mathambo. En 2016, avec leur premier disque globetrotter, Musica da Terra, ils exploraient les sons de l’Afrique et du monde dans une fusion explosive de house, de soul, de zouk et de musiques traditionnelles africaines. Nouveau décor pour Kasi Royalty : les quartiers de la banlieue de Johannesbourg où ils ont grandi. Kasi c’est un mot d’argot qui désigne le township. Quand un journaliste lui demande si ce n’était pas trop dur de grandir à Reiger Park, Manteiga lui rétorque qu’elle a été une petite fille très heureuse. «Il y a plein d’amour, de bienveillance et de solidarité dans nos quartiers», raconte la chanteuse. « On a voulu rendre hommage à la noblesse, la grandeur d’âme, des habitants des kasis. Notre premier disque parlait du monde. Celui-ci parle de notre monde. » Les kasis sont au coeur de la culture musicale en Afrique du Sud et dressent à travers le pays une carte sonore d’une richesse inégalée. Batuk est allé piocher dans tous ces sons pour les morceaux de Kasi Royalty : le jazz Soweto des années 40 de « Babaloo », le kuduro de « Teka Anthem », en clin d’oeil aux origines mozambicaines de Manteiga, le dub de « I Hang On You » ou la deep house de «Love At First Sight». Plus urbain que le précédent, l’album est aussi largement inspiré par le kwaito, un dérivé sud-africain de la house au tempo plus lent et aux basses profondes. Né dans le township de Soweto, au moment de l’élection de Mandela, le kwaito a servi de bande-son à l’émancipation de la jeunesse noire. Avec son afro-house hybride, Batuk remet le kwaito au goût du jour.

Kasi Royalty c’est un témoignage tendre et nostalgique sur le quotidien de ces quartiers

populaires où leur amour pour la musique est né. Un disque où l’on croise Manteiga petite fille, en train de sauter à la corde dans la rue. Elle y raconte les dimanches après-midi d’été où l’on se réunit entre amis dans les parcs de Johannesbourg, avec la glacière, pour danser au son qui s’échappe des co­ res de voiture ouverts («Maak Oop Die Boot»). Batuk veut faire danser car en Afrique du Sud des nouveaux pas de danse sont inventés à tous les coins de rue (« This Move ») et : « en dansant, on sécrète des endorphines qui vous font du bien au moral », rappelle Manteiga.

S'y rendre

FGO-Barbara

1 rue Fleury 75018 Paris

MLa ChapelleM 2 à 322m

MBarbès-RochechouartM 2M 4 à 327m

MGare du NordM 4M 5 à 473m

MFuniculaire Gare basseM fun à 785m

RerGare du NordRer b à 465m

RerGARE DU NORD SURFACERer bRer d à 578m

TransGARE DU NORD SURFACETrans hTrans k à 578m

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