Sur son dernier opus « La vague », elle séduit avec une pop électro très euphorisante.

Née en 1990, Izia, fille de Jacques Higelin, compose ses premières chansons dès l'âge de 13 ans. Révélée en 2006 au Festival du Printemps de Bourges, elle enflamme alors la scène avec son rock déjanté et se produit en 2007 en première partie d'un concert des Stooges à Paris. En 2009, elle sort un premier album éponyme couronné aux Victoires de la musique.
Hier, encore adolescente, Izia mettait à rude épreuve ses cordes vocales et sidérait nos oreilles dans la langue de Shakespeare dont elle semblait avoir hérité la furie légendaire. La presse lui imaginait des filiations plus ou moins directes avec Robert Plant ou Janis Joplin. Aujourd’hui, jeune adulte de 25 ans, elle ose la langue paternelle dans un registre plus posé. Elle tisse désormais une pop électro mélodieuse toute voix dehors dans un virage spectaculaire qui l’amène à signer ou cosigner la composition de bon nombre de ses titres sous la houlette du producteur incisif Johnny Hostile, qui a déjà contribué au succès de Lescop. Sur scène, Izia demeure pour notre plus grande joie un concentré d’énergie brute qui se mue en véritable tornade.

La presse en parle
Voilà qu'après un détour par le cinéma elle nous revient avec un troisième album plus pop, qui ose l'électro et le français. Bonne nouvelle, Izia ne s'est pas assagie sur scène pour autant. On aime sa fougue, sa voix, sa sincérité. Un vrai bonheur.
Télérama