Gouailleuse fantasque à la mine rieuse et chaplinesque, Pauline Paris balade ses riffs swing dans un spectacle réaliste et pétillant. Rythme chaloupé, guitare chabada, ce titi parisien s’adresse à son public avec une désinvolture rare et attachante, le faisant complice de ses fantasmes, de ses psychoses et de ses amour(e)s. Un coffre à en oublier ses 1m52 ½, cet électron libre communique une énergie contagieuse. Certains parlent d’elle comme une nouvelle Fréhel picoleuse et constamment amoureuse, d’autres lui trouvent un petit côté Gainsbarre dans ses heures chaudes et des accents de Catherine Ringer.

Pour ce concert célébrant la sortie de son nouvel album « Carrousel », elle sera entourée de son petit big band : Rafael Leroy à la basse, Marc Bizzini au piano & clavier, Yann Forleo à la batterie, Silvio Barahona au trombone, et un trompettiste surprise…
« Elle a publié son premier CD en 2006 et très vite, elle a imposé son style, une voix plutôt dans l'aigu, mais opiniâtre et gouailleuse à l'occasion. Sur ce nouveau CD c'est une ballade en amours qu'elle nous propose dans un environnement de petit big band. » France Culture (Chanson Boum)

Nicolas Duclos parle dans ses chansons de ceux qu'il rencontre et de ce qui l'étonne. On croise un voisin un peu cinglé, un loup solitaire et un amoureux qui écrit et jette à la mer " la dernière chanson " avant le grand déluge. Un éventail d'émotions et d'histoires vécues ou imaginaires
Pour « Anne tu es là », Nicolas Duclos, en solo au piano, a puisé dans le répertoire (pour adultes) d’Anne Sylvestre des chansons intimes, personnelles, des chansons qui nous parlent directement, pour continuer à dialoguer et nous faire dialoguer avec elle. Bien qu’il soit un homme, bien que cette oeuvre immense soit intimidante pour l’interprète, il a eu envie de s’emparer résolument de ces chansons d’amour, de colère et de consolation, et de les faire sienne