Bagarre, tout court. Pas La Bagarre (trop nouvelle chanson française), ni Bag/Art (trop Palais de Tokyo). Ni a fortiori Riot (trop mod) ou Baston (trop blousons noirs et chaînes de vélo). Car les Parisiens du groupe Bagarre – qui sortent généralement indemnes de leurs prestations scéniques (de même que leur public) – martèlent une électro minimaliste qui claque, sur des paroles qui contusionnent.