Parquet
Une musique de transe alliant la culture des clubs berlinois à l’univers des jeux vidéos addictifs des années 80/90. La musique de Parquet est une relecture de la musique électronique par cinq musiciens venant de la scène noise et expérimentale sur le principe du DJ set où tout n’est que morphing et transformations lentes contrebalançant avec des points de tension et de rupture dont le seul but est la danse.
Ar Ker
Ker est un préfixe régional, signifiant à l’origine endroit fortifié, château fort, citadelle puis village et finalement lieu habité. Entre chamanisme et hard electronica.
Jonathan Foussadier
Jonathan, c’est d’abord une rencontre humaine. Il jongle, il peint, il voyage, il danse, il joue.
Il est hors cadres, il est hors normes.
Il y a beaucoup de ses peintures sur les murs de Paris.
Et puis, il écrit, raconte. Il vous parle quoi !
Des textes, absurdes ou non, des textes sur le monde, voire des textes du maintenant.
Créateur au présent, Jonathan viendra parler. Il aura un micro, des micros, il sera partout en même temps, il sera là.
collectif Protocole
Protocole c’est l’énergie de six jongleurs conjuguée aux auxiliaires danse, jeu et jonglage en fonction du lieu d’expérimentation dans un temps donné pour des événements non reproductibles. C’est donc à travers l’improvisation que l’identité du collectif se construit. Ils seront là pour créer une forme unique, celle de défloraison.
Juglair
Diklove est une divagation de Diktat, premier spectacle solo de Juglair.
Diklove sera à vivre comme une première fois. Parce que ce sera la première fois des expériences de Diklove. Parce que comme une première fois, il faut plutôt en rire qu’en pleurer. Parce qu’on veut que ce soit magique comme une première fois. Parce que pour une fois, ce sera le technicien la star. Parce que ce sera aussi la défloraison de l’artiste encerclé des ses spectateurs. Parce que ce sera un mélange des sexes à en perdre son féminin/masculin.
Parce qu’avec son pole danse, Juglair va vous présenter la nouvelle vedette des présidentielles. Parce qu’une première fois ne se vit qu’une fois.
Johan Bichot
Acrobate, danseur, Johan vient proposer une forme unique, tout spécialement pour défloraison.
Laetitia Piccareta
Laetitia vit et travaille entre Paris et Berlin.
Fascinée par la communication non verbale, c'est avec ses yeux qu'elle cause.
Photographe et designer graphique, elle explore la place de l’individualité dans une société qu’elle questionne.
Elle vient de l'est de la France.
Elle travaille depuis 20 ans, elle a commencé jeune. Elle entre à l'école à 2 ans et demi et en sort à 18 après avoir passé son bac dont elle ne cherchera jamais les résultats.
Elle enseigne la conduite auto et moto, est commerciale dans une maison d'édition, commence la photographie, a un nouveau surnom, s'improvise comédienne dans un long métrage et n'apparaît que dans les scènes où elle ne parle pas, découvre le graphisme dans une agence de communication, est publiée dans le magazine ELLE et joue avec les chiffres dans une banque de gestion de patrimoine. Son surnom la poursuit.
En 2016, ses photos sont exposées chez UBS et L'Oréal alors qu'elle suit une formation de designer graphique à l'école Estienne.
À 38 ans, "Couteau suisse" décide de s'expatrier à Berlin, vend sa voiture, oublie les chiffres et garde les yeux ouverts.