Adella
Adella, ce n’est pas la petite sirène Disney c’est plutôt la sirène de police qui retentit quand elle passe dans la rue avant de monter sur scène.
Femme de caractère, sans filtre et sans effet, Adella nous embarque avec sa voix singulière, sensuelle et ses mélodies ravageuses.
Une fille qui se bat avec ses mots que l’on a déjà pu entendre sur le single « Pense à moi » du groupe Luke.
Adella travaille son répertoire depuis trois ans et finit par prendre une direction rock chanson après avoir acquis une expérience de la scène au cours de nombreux concerts parisiens, de festivals et de plusieurs premières parties comme celles de Hubert-Félix Thiéfaine.
Adella n’a pas fini de nous surprendre avec ses pédales, son piano, son violon, sa guitare et surtout pas mal de talent.
Alysce
Des allures de gamine, des convictions immatures, une guitare et des chansons.
Désir de révolte, premier EP d’Alysce, rend hommage à l’adolescence, aux enfants désobéissants qui se révèlent, s’aiment, deviennent des hommes, des femmes et des vieux pas tout à fait sages...
Le luthier Gérard Audirac lui a dédié le modèle de guitare « Alysce ». Diplômée du Pôle Supérieur de Paris-Boulogne Billancourt et récompensée dans plusieurs compétitions internationales, Alysce est bien armée pour s’exprimer avec sa guitare. Entre classicisme et folk, elle chante son irrépressible désir de s’affranchir.
Marjolaine Piémont
Clic, on remonte le mécanisme et Marjolaine Piémont, semble sortir tout droit sortie d’une boîte à musique. Une longue dame brune. Une danseuse qui tourbillonne à la manière d’un automate.
Marjolaine Piémont porte le prénom d’une herbe aromatique mais démontre qu’elle n’a rien d’une plante verte. Sur scène, elle se met en mouvement et se révèle "Presqu’un animal". Elle ne montre pas les griffes, mais avec élégance, dévoile crûment ses textes mordants.
Elle délivre par à-coups des sons qu’elle a emprisonnés dans sa boîte magique. Le son des guitares, d’un tambour… un écrin s’ouvre duquel Marjolaine s’érige et porte haut la parole d’une femme espiègle et audacieuse.
Après avoir arpenté les scènes des caves de Saint Germain des Prés aux toits de Montmartre, de bars bondés en salles clairsemées, de Kaliningrad à Tokyo ou celles de la tournée de Mozart L’opera-rock Officiel ; en collaboration avec Vincent Baguian, Guillaume Aldebert, William Rousseau et Fambuena Edith, Marjolaine Piémont réunit dans un premier EP cinq chansons féminines et piquantes. Elle se signale depuis par les premières parties de Zazie, la finale du Pic D’Or et la demie finale du prix Moustaki 2017.
Teorem
TEOREM est la formule créée par Rémi Libéreau pour scander ses textes, entre chanson et rap.
Dans une langue fleurie où l'argot fait bon ménage avec la poésie, Rémi se pose en observateur avisé - tantôt amusé, tantôt dépité - de l'homme moderne. De la disparition des K7 aux louanges de Bacchus, des caresses d'un kiné au Made in China, il nous parle d'aujourd'hui sans cruauté et d'hier sans nostalgie.
Si l'on perçoit l'influence des musiques jamaïcaines dans ses compositions, Remi allie surtout l'énergie du rap à des riffs modernes, sans jamais quitter la chanson.
Artisan du texte, bricoleur musical, il compose ses morceaux très simplement : un stylo, un coin de feuille blanche, la guitare d'un pote, un vieux synthé et une boite à rythme. Il collabore avec des musiciens de talent pour défendre en concert une musique sans artifice. De l'appart' à la scène, de la machine à l'homme, c'est ça la formule TEOREM.