Yalta Club
Yalta [jalta] n. p. : Station balnéaire propice au partage du Monde entre amis. cf. Happy Indie Pop.
On entend un peu de tout dans Yalta Club, mais surtout de la bonne humeur. Du soleil brillant et fort comme une section de cuivres, des sourires éclatants comme ceux d’une chorale de hippies en pleine montée de MD et des mélodies qui vous collent au cerveau comme un tee-shirt trempé un après-midi d’été. On entend aussi Vampire Weekend et ses guitares chaloupées, on entend I’m From Barcelona, les chœurs des Beach Boys et des Beatles, mais surtout on ressent en live l’intensité d’un show digne des grandes heures de la Mano Negra. C’est tout ça à la fois Yalta Club…
Des playlists sur Oui FM, Le Mouv’, FIP et France Inter, RFI, des 1ères parties de Madness au Trianon, de Dionysos en France, Belgique et Luxembourg, des concerts au Printemps de Bourges, aux Bars en Trans, au Berlin Music Week, au Point Ephémère et à la Flèche d’Or : 2013 aura vu l’explosive éclosion de ce Club des 6 à l’énergie communicative. Avec plus 80 concerts en un an, en France et en Allemagne, le Yalta Club s’impose désormais comme un des groupes live avec qui il faudra compter !!!
Telegraph
Les cousins Julien et Matthieu Humez et leur ami d’enfance Maxime Fornareso débarquent du sud de la France et s’installent à Paris en 2010. Ils partagent la scène à travers plusieurs projets pendant quelques années, mais ne parviennent jamais totalement à exprimer toute leur créativité. Désireux de changer d’air, ils quittent la capitale en 2016 et partent ensemble à la recherche d’un nouveau souffle. Au cours d’un roadtrip le long de la côte ouest des Etats-Unis, ils découvrent la culture artistique et littéraire de la Beat Generation des années 1950. La route les inspire. Ils se mettent à composer à trois pour raconter ce périple fait de rencontres, de découvertes et de partage. En pleine immersion musicale, ils se nourrissent de l’éclectisme qu’ils y découvrent. Du rock à l’urbain, en passant par le folk ou l’electro, leur vision de la musique mûrit en même temps que leur projet. Ils reviennent à la fin de l’été avec un journal de bord rempli d’anecdotes, de dessins, d’histoires et de chansons. Telegraph est né.