Le Bruit Qui Court
Qu’il rende un vibrant hommage à nos amies les brouettes ou cire les pompes à Michel Drucker, qu’il dénonce la dramatique absence de toilettes sur le périphérique ou nous révèle les bienfaits insoupçonnés d’une baignade en amoureux sur les plages du Nord à la mi-février, c’est dans le vent de folie d’un drôle de quotidien (le notre ?) que nous embarque LE BRUIT QUI COURT… Un quotidien qui passe, entre autres et quand même, par la crise de l’emploi (sauf au Bois de Boulogne…), la place du chanteur comique dans la société post industrielle, les ingratitudes de l’âge, l’actualité des sectes, le sexe au bureau…
« Angle de vue souvent inédit des textes, mélodies efficaces et lien immédiat de connivence avec le public, c’est sur scène, légèrement frappé et servi à température ambiante que LE BRUIT QUI COURT (LBQC pour les intimes) donne le meilleur de lui-même… Ça bouge, ça joue, ça chante et ça cause, le tout dans un spectacle à la croisée des genres dont le rythme pour le moins soutenu n’est pas sans rapport avec la pêche hautement communicative des «musicomédiens» de ce pétillant quatuor humoristique… »
Presque jazz, simili rock’n roll, swing politique ou drame d’amour auvergnat pour guitare classique et guidon d’vélo… UN REMUE-MENINGES TOTAL LOUFOQUE QUI VA VOUS TITILLER LES ZYGOMATIQUES !!!…