Jay Golden est un Bassiste américain de plus de 45 ans qui a travaillé comme sideman avec des artistes comme George Clinton, B.B. King, Bernard & Luther Allison, Liz McComb, et De La Soul pour n'en citer que quelques-uns. Jay Golden vit à Paris depuis plus de 30 ans et avec son groupe, il apporte sa vision unique de la musique en France. Créateur de la Jay Golden Jam School qui est un Jam populaire dans la région parisienne. Il revient aux Disquaires avec son groupe pour donner une soirée spéciale de Soul et de groove des années 70 avec des invités spéciaux de sa ville natale de Baltimore Md. U.S.A. avec la Chanteuse Royce Marshall et le Trompettiste et Chanteur Ronald Baker. Jay sera accompagné de son groupe de musiciens locaux, François Faure aux Claviers, Samy Docteur à la Guitare, Maceo aux Saxos et Christophe Gaillot à la Batterie.

Royce est un styliste prolifique avec plus de 20 ans d'expérience dans le domaine de la chanson et du chant en studio/enregistrement, ouvrant les portes à des groupes de R&B tels que 1st Class, Softones, The Ebony's, et de nombreux groupes du Delaware, du Maryland et de la Virginie. Mais maintenant, il est temps pour Royce d'élargir son public et de partager sa passionnante voix douce, grésillante, savoureuse, sexy, sensuelle et impertinente. Royce est très douée pour créer une ambiance émotionnelle en passant par le Rhythm & Blues et le jazz contemporain. Royce dit que son cœur est caché dans son amour pour son Créateur et son Roi et non dans une religion. C'est ainsi qu'elle vit, qu'elle aime et qu'elle chante. Royce a réussi ce que beaucoup s'efforcent de faire : créer un lien émotionnel avec ses auditeurs.

Né à Baltimore dans le Maryland en 1968, installé en Touraine
pendant une vingtaine d’années et plus récemment à Paris, Ronald Baker
a étudié avec Kenny Davis, Donald Byrd, Jay Jay Johnson et John
Faddis. Le réalisateur Alain Corneau le remarque et le fait travailler
dans son film “Le Nouveau Monde”, qui sortira en 1995. Très vite
intégré au milieu musical, Ronald Baker multiplie les rencontres – lot
habituel de tout jazzman – et constitue peu à peu son propre quintet.
Il se réclame de Freddie Hubbard lorsqu’il est question de trompette,
de George Benson et Al Jarreau quand est évoqué l’art du crooner,
influences qu’il défend efficacement sur scène, avec de nombreux
concerts et festivals à son actif : Festival de jazz de Montréal
(2003), Festival dans le New Jersey, Jazz in Marciac (1997, 2002),
Montreux Jazz Festival (1998), Festival de Jazz en Touraine (1997,
1999, 2000), Festival Django Reinhardt, Festival Jazzellerault, La
Coursive scène nationale de La Rochelle, Le Petit Journal
Montparnasse, Festival de jazz d’Orléans, Festival jazz de
Montpellier…).