C’est l’une des œuvres majeures et incontournables du répertoire sacré. Les plus grands chefs (Karajan, Bernstein, Toscanini, Abbado), à la tête des plus grands orchestres ont dirigé de célèbres chœurs et solistes (Pavarotti, Tebaldi, Georghiu, Alagna, Fleming…).

C’est en 1874, en hommage à son ami le poète Manzoni, avec qui il partageait un même idéal d’humanité et de justice, que Verdi a composé ce requiem-opéra célèbre par son ampleur et ses accents qui traduisent la puissance divine. Le Libera me final réunissant soprano et chœur en est l’exemple-même.

Après Hackney en Angleterre le 15 décembre 2019, les deux chœurs chanteront cette œuvre lors de deux concerts en région parisienne.

C’est la version de Michael Betzner-Brandt pour 5 instruments (piano, marimba, cor, contrebasse et timbales), solistes et chœur qui sera présentée. Véritable re-création de l’œuvre dans une lecture fougueuse qui donne la priorité à la lumineuse beauté des chants et dévoile des couleurs instrumentales tout à fait étonnantes.
Soprano : Tatiana Probst
Mezzo : Momoko Kanazawa
Ténors : Taesung Lee et Seongyoung Moon
Baryton : Jiwon Song
Piano : Aeyoung Byun
Contrebasse : Jeanne Bonnet
Percussions : Sylvain Thomas
Marimba : Yannick Monnot
Cor : Guy Evra