Quand on pense l’écouter classique égrener du Vivaldi ou du Scarlatti, Thibault Cauvin est déjà ailleurs, à surfer parfois aux frontières des musiques actuelles, à musarder dans les rues des villes qu’il aime, toujours bien accompagné par ses musiciens de cœur, ceux qui partagent avec lui le sens de la musique pour tous.
Comme passeport, six cordes suffisent à ce nomade pour traverser les frontières de Grenade à Bamako, de Venise à New York.