Rock

Daniel Paboeuf Unity + Laetitia Shériff

Daniel Paboeuf Unity , pour la sortie du 2° album sera À Petit Bain avec Laetitia Shériff en 1° partie. DPU et Laetitia Shériff sur une même scène est une évidence.

  • Jeudi 23/06/2016 à 20:00

Petit Bain

7 Port de la Gare 75013 Paris

Bateau, Péniche

Paris 13e arrondissement

MBibliotheque-Francois MitterrandM 14

Voir la carteComment s'y rendre

15 €Prévente

Le demi est à 4,50 €

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À propos

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JEUDI 23 JUIN
DANIEL PABOEUF
+ LAETITIA SHÉRIFF
Rock électronic / Pop indé
20h / 15€ en prévente*, TR, habitants du 13eme / —€ sur place
*hors frais de location
EVENT FB

Daniel Paboeuf Unity « Ce qu’il en reste »

Après un premier album éponyme en 2008 avec les featurings de Olivier Mellano et Laetitia Shériff et un EP en 2010 où étaient invités Robert le magnifique, Arm (Psykick Lyrikah) et à nouveau Laetitia Shériff, le deuxième album de DPU (Daniel Paboeuf Unity), « Ce qu’il en reste », produit par Thomas Poli (Dominique A., ESB, Laetitia Shériff) est sorti cette saison chez M Com’ Musique/Modulor.
Sur cet album, la musique s’est infléchie grâce notamment à l’apport de Nicolas Courret (Eiffel, Laetitia Shériff) à la batterie et au laptop. Les tendances electro/indus se sont affirmées, parfaitement maitrisées par Mistress Bomb H, alors que les claviers de David Euverte (Dominique A) instillent une dimension orchestrale et lyrique.
« Le son de Daniel Paboeuf est pour moi aussi emblématique de Rennes que les voix de Philippe Pascal ou d’Étienne Daho. Le son, toujours ce son. Cette voix, unique » (Dominique A)

Laetitia Sheriff – « Pandemonium solace and stars »

Epaulée par son vieil ami Thomas Poli (guitariste de Montgomery et collaborateur de Dominique A), le batteur Nicolas Courret (Eiffel), Lætitia Shériff voyage entre la « Daydream Nation » de Sonic Youth et le « Hips And Makers » de Kristin Hersh, quand le son clair des guitares voudrait ignorer encore un instant le grondement inquiétant de la basse. Mais qu’elle vous attrape par le colback et vous crache son « Wash » au visage ou qu’elle vous bouleverse par l’intensité de son « A Beautiful Rage II », la Shériff vous remue toujours de l’intérieur. Parce qu’au grain de sa voix, au son de ce disque équilibriste, on sent qu’elle ne triche pas. Qu’elle ne peut pas.

Les artistes

Laetitia Sheriff

Contrairement au patronyme qu'elle s'est choisi, Laetitia Shériff n'est pas du genre à (faire) respecter la loi. Elle serait même plutôt de ceux qui la transgressent avec gourmandise, comme en atteste la liste de ses collaborateurs par le passé, tous des vandales de la bien-pensance musicale (l'immense saxophoniste de jazz François Jeanneau, la diva punk Lydia Lunch, le producteur de musiques électroniques Robert Le Magnifique, l'expérimentateur Noël Akchoté ou encore le guitariste polymorphe Olivier Mellano...).

En dix ans, sans aucun plan de carrière réfléchi à l'avance, la chanteuse/bassiste a su laisser son empreinte indélébile sur une poignée de disques exigeants, sous son nom ou bien sous un autre (Trunks), mais également dans des BO de documentaires, au cinéma, au théâtre ou dans des spectacles de danse.

Néanmoins la véritable performance de Lætitia Shériff, c'est de réussir à justement canaliser cette soif de liberté, à formater son audace formelle. Son dernier disque, « Pandemonium Solace and Stars », est ainsi une petite merveille de rage lumineuse, de désespoir fertile, qui l'autorise désormais à marcher dans les pas d'illustres ainés comme Scott Walker, Neil Young ou Nick Cave. Bien sûr, dans sa discothèque personnelle, on imagine que les disques de Sonic Youth, Dominique A ou The Breeders tiennent également une place de choix. Elle en partage les obsessions en tout cas. Et l'art de la mélodie sournoise, comme par exemple celle du refrain de « The Living Dead » qui vous poursuit toute la journée.

Epaulée par son vieil ami Thomas Poli (guitariste de Montgomery et collaborateur de Dominique A), le batteur Nicolas Courret (Eiffel) ainsi que la violoniste Carla Pallone (Mansfield.Tya) invitée sur trois titres, Lætitia Shériff voyage ici entre la « Daydream Nation » de Sonic Youth et le « Hips And Makers » de Kristin Hersh, quand le son clair des guitares voudrait ignorer encore un instant le grondement inquiétant de la basse. Mais qu'elle vous attrape par le colback et vous crache son « Wash » au visage ou qu'elle vous bouleverse par l'intensité de son « A Beautiful Rage II », la Shériff vous remue toujours de l'intérieur. Parce qu'au grain de sa voix, au son de ce disque équilibriste, on sent qu'elle ne triche pas. Qu'elle ne peut pas.

« It sounds like Love » susurre la belle à la fin du « Far & Wide » tout en suspension qui clôture cet album. Il y a de ça effectivement.

Kalcha

S'y rendre

Petit Bain

7 Port de la Gare 75013 Paris

MBibliotheque-Francois MitterrandM 14 à 480m

MQuai de la GareM 6 à 552m

RerBIBLIOTHEQUE F. MITTERRANDRer c à 483m

TransGARE DE BERCYTrans r à 741m

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