Après avoir largement exploré l’univers de son maître BUDDY RICH, le batteur François Laudet revient aux sources en rendant hommage au véritable « père de la batterie moderne » : GENE KRUPA.
Né en 1909 à Chicago et décédé en 1973, Gene Krupa a été le batteur de Benny Goodman et a propulsé la batterie au rang d’instrument vedette, générant une véritable armada de « fans » hystériques à chacune de ses interventions. Il suffit d’écouter le célèbre album de Benny Goodman « Live at Carnegie Hall – 1938 » pour comprendre la formidable énergie et le swing irrésistible de ce fantastique batteur.
Il a ensuite monté son propre grand orchestre avec le trompettiste Roy Eldrige, révélant au passage une jeune chanteuse qui allait devenir célèbre, Anita O’Day.
Dans les années 50’, Gene Krupa enregistre plusieurs titres en sextet aux côtés de Charlie Shavers, Ben Webster, Willie Smith et Teddy Wilson. C’est cette époque que François Laudet a choisi d’illustrer avec son nouveau quintet, dans les rangs duquel on retrouve quelques-uns des meilleurs jeunes musiciens de la scène parisienne, les arrangements étant confiés au saxophoniste catalan Esaie Cid. "

Esaie Cid saxo alto & clarinette
Malo Mazurié trompette
Laurent Epstein piano
Pierre Maingourd contrebasse
François Laudet batterie