Flotation Toy Warning
Flotation Toy Warning est un groupe de rock britannique, originaire de Londres, en Angleterre. Formé en 2001, le groupe possède un style musical décrit comme un mélange de space rock et de pop baroque, portant des similitudes à des groupes tels que Mercury Rev, The Flaming Lips, Grandaddy, Sparklehorse, The Unicorns, et Air. Le groupe est composé du chanteur Paul Carter, guitaristes et bassistes Ben Argile et Nainesh Shah, le batteur Steve Swindon, et la claviériste Vicky West.
En septembre 2004, Flotation Toy Warning sort son premier album, Bluffer’s Guide to the Flight Deck, sur le label indépendant français Talitres. Ils jouent la même année au festival de la Route du rock, en première partie de The National.
Après treize années d’absence, Flotation Toy Warning revient en mai 2017 avec un premier morceau intitulé King of Foxgloves. Le groupe sort ensuite son deuxième album, The Machine that Made Us, le 16 juin 2017, toujours sur le label Talitres.
SÉLECTION PRESSE :
"Superbe collection de chansons dans la veine de Mercury Rev et des Flaming Lips, soit le courant cinématographique du rock américain. Ces mélodistes là sont anglais."
E. Tellier, Telerama ffff
"L’Angleterre de Flotation Toy Warning, comme les États-Unis de Mercury Rev, Grandaddy ou Midlake, doit ressembler à un bien étrange cirque, peuplé d’indécrottables rêveurs éveillés, entre couleurs pastel et inquiétantes zones d’ombre. Sur un album sublime d’étrangeté, les Anglais, fins chimistes, plongent la pop aux temps élastiques dans une brume envoûtante, cuivrée et poétique, lui font prendre tout détour imaginable et flottent, libres, entre souvenir et présent, fantasme et réalisme." Les Inrockuptibles
"Flotation Toy Warning se livre à un spectaculaire traitement baroque de la matière sonore, où les chorales sont sous influence, les cordes se shootent à l’absinthe et où les anges, planqués derrière un cumulo-nimbus se mijotent une infu. Même les chants d’oiseaux sont louches ! En dix pièces d’égale durée, le Guide Futé Du Cockpit a de quoi renvoyer les Mercury Lips et les Flaming Rev de ce monde à leurs chères études. Illustrant à merveille ce que nous disait Oscar Wilde au siècle dernier, « Le monde est fait par le chanteur pour les rêveurs." Magic
Laish
« Pendulum Swing » (Talitres, novembre 2016), troisième album du musicien anglais Danny Green (aka Laish), dévoilait les mélodies grâcieuses et malicieuses d’un artiste en devenir. Fin alchimiste, le londonien multi-instrumentiste délivrait douze titres où les harmonies et les arrangements rivalisaient de douceur, d’ingéniosité et d’un humour très british.
« Time Elastic », enregistré à Brighton avec Tim Bidwell (Peggy Sue, Fink, Jennifer Left…) marque une nouvelle étape, et un grand pas en avant, dans la prometteuse carrière du songwriter. Album le plus direct, Danny Green nous captive ici par sa capacité à retranscrire les émotions, à accompagner de sa palette vocale ces chansons folk magistrales.
« Je souhaitais explorer la relation entre le temps et la mémoire » explique Danny Green. « Comment certains événements, douloureux ou extatiques, peuvent rester ancrer en nous ; comment la vie peut apparaitre, comme une succession de scènes, parfois répétitives. Apprenons-nous de nos erreurs ? A la manière de dix épisodes d’une petite série dramatique, mon intention était de surprendre l’auditeur, de le tenir en haleine. J’avais la volonté de dénuder les compositions, mais au fil du processus d’écriture et des sessions d’enregistrement, l’ajout de chœurs, de cuivres, de cordes, s’est installé comme une évidence. »
Reconnu à juste valeur pour ses concerts à l’énergie communicative, Laish a joué dans maintes salles londoniennes (Union Chapel, St Pancras Old Church, Barbican), réalisé diverses tournées au Royaume-Uni et en Europe et bénéficié, parmi d’autres, des soutiens de Steve Lamacq, Tom Robinson et Chris Hawkins sur la BBC 6.