Dans Shéhérazade, Rimski-Korsakov a trouvé les notes justes pour faire scintiller l’orchestre, à la manière des tissus orientaux. Un siècle plus tard, c’est en 2008 que le pianiste et compositeur turc Fazil Say a écrit son concerto pour violon
inspiré par les Mille et Une Nuits. L’orchestre comprend des percussions comme le kudüm, le bendir ou la darbouka, qui accompagnent le soliste dans ses cadences.

Lieu : Grande salle - Philharmonie