Rudolf Buchbinder s'attaque à l'ébouriffant Burlesque de Strauss tandis que Mikko Franck sculpte les grandes références du poème symphonique.

Immortalisées par 2001, l’Odyssée de l’espace de Stanley Kubrick, les premières notes d’Ainsi parlait Zarathoustra de Richard Strauss amorcent une exploration de l’évolution de l’homme, librement inspirée de l’oeuvre de Nietzsche. Richard Strauss porte là au sommet le genre du poème symphonique, inventé cinquante ans plus tôt par Franz Liszt, dont Les Préludes constituent la réalisation la plus populaire. Le Burlesque de Strauss, pour piano et orchestre, s’inscrit comme un clin d’oeil entre ces deux grandes pages symphoniques qui interrogent l’homme, la vie, la mort...

Lieu : Grande salle Pierre Boulez - Philharmonie