La Vague
LA VAGUE est la rencontre de deux êtres indomptables : Thérèse, néo-geisha volcanique et John, loup sauvage. Ensemble, ils s’entrechoquent pour créer un rock protéiforme, mélange de beats pesants et d’électro-pop lumineuse.
LA VAGUE c’est l’histoire d’un questionnement assumé sur l'absurdité des choses, de la vie.
Nourris aux burn-outs et aux amours qui se fanent trop vite, Thérèse et John ont connu la vie millimétrée et les jobs aliénants. En 2015, ils font le choix de tout plaquer pour se dédier à leur passion: la musique. Vite, ils ressentent le besoin de dire, de montrer, d’adoucir, d’exploser. De là sont nées des chansons mélancoliques et jubilatoires, profondes et détonantes, tendues et dansantes.
LA VAGUE (s’)emporte dans un cri de libération.
Ko Shin Moon
Mêlant compositions instrumentales et digitales, sonorités électroniques contemporaines, musiques traditionnelles et samples issus d’enregistrements de terrain, Ko Shin Moon brouille les frontières. Tintement de Ghantas, rythmes de Derbukas, mélopées délicatement égrenées au Tambur Turc, au rubab afghan ou au Phin Thai la musique de Ko Shin Moon accueille un patrimoine musical et instrumental venu des quatre régions du globe. Chaudement installée dans une écoute instrumentale saupoudrée de quelques samples vocaux d’Inde, du Moyen-Orient ou d’Asie du Sud-Est, d’un instant à l’autre la lune de Ko Shin devient furieuse. Le temps d’un break, renversant l’écoute analogique dans la synthèse digitale, Ko Shin Moon transforme l’auditeur en danseur sur un acid algérien, un belly dance électrique, du psyché grec, de la disco turc, de la trap libanaise, de la dance thaïe et du shoegaze laotien. Bande d’originale fantasmée d’un film de Bollywood, sélection éclectique des clubs malfamés d’Oran, de Kolkata, de Krungthep ou de Bagdad, ou simple rêve de deux illuminés croulant sous les synthétiseurs analogiques et les luths orientaux d’un studio, Ko Shin Moon se fait palimpseste effaçant les influences et les modes opératoires à mesure qu’il les réécrit.
Maur Cyriès
— Art Rock
S’appuyant sur des percussions primitives d’Asie du Sud Est, il nous concocte un cocktail improbable entre un rock sombre à la Tom Waits et la douceur langoureuse d’Henri Salvador. Ses textes évoquent des histoires vraies de reines de bronze, de horde d’enfants sauvages, de contrebandiers miséreux, de renégats brulant vifs et de truands vivant avec des crocodiles, une bible dans une main et un fusil dans l’autre.
TWIRRL
— Synth-Rock & Lo-fi
Amoureux des magnétophones à bande, il produit une pop lo fi réinventée il y a peu par les Ariel Pink, Ty Segall, Mac Demarco et confrères. Sur scène, Twirrl défend les couleurs psychédéliques de sa pop en solo accompagné d’un lecteur K7 et de ses synthés programmés. Mais ce n'est pas impossible de le voir entouré d'un vrai backing band. Selon les envies du bonhomme. Twirrl n’est pas la créature volante de la planète Naboo de l’univers Star Wars. Enfin si, mais ces quelques lignes ne lui sont pas consacrées.
Emma Beatson
Emma Beatson, chanteuse-militante présentera son nouvel EP “ Femme télescopique” sur la scène des Disquaires. De la soul, elle conserve l’âme, du hip hop, elle prend le beat, de la pop elle s’empare des refrains. Un cocktail poétique empreint d’engagement politique.
Manifestation entièrement gratuite de 11h à 19h.