No one is innocent
1994, nous fêtons les 50 ans de la libération de Paris, Nelson Mandela est élu président de la république, pourtant la politique et le climat hexagonal font froid dans le dos, No One Is Innocent, eux, chantent La Peau la rage au ventre… Ils ont 20 ans, des rêves d’ados, et sous leurs airs un peu branleurs, ils revendiquent haut et fort leur Utopia.
En 2015, on ne fête pas grand chose. La crise met le monde à genoux, les extrémistes rêvent de devenir rois, et le monde de la musique déboussolé, a du mal à rester engagé. Pourtant, No One Is Innocent décide de repartir sur la route avec un sixième album. Ils reviennent avec Propaganda, un album ADN, guitares en avant et textes enragés, retour aux sources de la colère...
Tomy Lobo
TOMY LOBO est une désorganisation autogérée, née dans la révolte et la claustrophobie urbaine, animée par le fantasme de
« l’ailleurs », au-delà des murs...
TOMY LOBO est composé de trois membres qui alimentent cet univers fantasmagorique à travers différentes disciplines artistiques, telles que la photographie, le graphisme ou encore l’art plastique et la vidéo, qu’ils mettent au service de leur musique.
Modern Man’s Gone (2014) se compose de six titres formant un univers onirique oscillant entre lumière et ténèbres, douceur et puissance, où l’espoir tente d’échapper au béton crasseux.
De cet EP est sorti un clip “Climb Over The Mountains“ réalisé par le groupe.
Sur scène TOMY LOBO se présente dans une configuration triangulaire : batterie-guitare-chant, accompagnée par
des machines.
De cette formation émane une énergie live puissante, où des sons électriques et électroniques s’entrechoquent, où des hymnes rugissants dansent sur des percussions, tantôt tribales, tantôt mécaniques.
TOMY LOBO résistera à l’asphyxie.