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En Juin, les recommandations de notre partenaire

Le Petit Bain


7 Port de la Gare (13ème)
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Coopérative culturelle et labo social créé sous la forme d'une barge flottante, Petit Bain propose une programmation éclectique et avant-gardiste, du hip-hop à l'électro-rock.

Voici les concerts recommandés par Le Petit Bain :

7 Juin à 19H
Rock
Les Tropical Fuck Storm, maniaques de punk/art/pryché, embarquent pour leur toute première tournée européenne en mai/juin 2019 !
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TROPICAL FUCK STORM
Leur fantasmagorique premier album, ‘A Laughing Death in Meatspace’, sorti fin 2018, offre une vision complexe d’apocalypse algorithmique.
Avec les participations de Gareth Liddiard et Fiona Kitchin (des héros australiens de ‘The Drones’), le premier disque des Tropical Fuck Storm est un courant de conscience sur la fin du monde, à travers neufs morceaux bouillonnants.
‘A Laughing Death in Meatspace’ largue des bombes sur les concepts de mortalité et d’immortalité, de moralité et d’immoralité; sur le temps qui passe et sur le peu qu’il nous en reste. Des chansons sordides, racontées dans l’urgence à travers le lyrisme barbare de Gareth Liddiard, les coups de guitare abrasifs, l’adrénaline de la batterie, la basse torride et les sous-courants électroniques. Ils sont déchainés, drôles, et s’inspirent de tout pour leurs paroles, aussi bien de l’’internet shaming’ de la maladie rieuse de Kuru, que de la défaite difficile du joueur d’échec russe Gary Kasparov face à un ordinateur IBM.
En live, les Tropical Fuck Storm sont une force de la nature, ils évoquent le chaos à chacune de leur performances enflammées, comme un doigt d’honneur pointé à l’industrie musicale hégémonique. « Kneel down by the advertising, don’t you make a single false move » interpelle le refrain féminin de Fiona Kitschin et Erica Dunn, faisant écho à la consternation de notre époque, à l’ère de la sinistre séduction des réseaux sociaux et de la surveillance grandissante.
‘A Laughing Death in Meatspace’ ne délivre pas d’échappatoire à cette époque, mais consiste en un hurlement face à ce tourbillon qui nous attend.

CASH SAVAGE AND THE LAST DRINKS
Cash Savage et sa formation indie-punk des Last Drinks sortent après trois disques déjà encensés par les médias et le public, leur meilleur album. Les australiens ont laissé de côté leurs influences country pour se situer entre les Pixies et les Bad Seeds. Enregistré en décembre 2017, en plein débat sur le mariage pour tous sur la grande île, « Good Citizens » met toute sa puissance au service de la critique de la société de consommation et de l’intolérance.
Human, I Am et Pack Animals frappent fort, trouvant possiblement leur épicentre dans une chambre d’ado en quête de réponses. C’est un album de colère, mais qui trouve l’apaisement grâce à d’étonnants accents à la Springsteen dans le très bon Better Than That. Mené par la très charismatique Cash Savage, le groupe de Melbourne attise une flamme qui donne le frisson.

7 Juin à 23H55
Electro
Les Disques De La Bretagne
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Clara! Y Maoupa (Live)
Maoupa Mazzocchetti
King Doudou
Low Jack
IUEKE
Gravats

14 Juin à 23H55
Electro
SONS OF HOUSE x PWFM / une nuit 100% qualidad house
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KETTAMA
Evan Campbell, originaire de Galway, trafique ses prods sur ses machines depuis 2016. Et on peut dire que ça marche fort. Ses tracks ultra efficaces lui permettent rapidement de signer des sorties sur Shall not Fade ou Hommage. Jamais apparu sur une scène parisienne, il noiera le petit bain dans une house hyper brutale et en même temps tellement chaleureuse.

PUFFIN
Un crew comme Electronic Feeling, c’est rafraîchissant, très rafraîchissant. Allier la connaissance de la musique, la basse, la guitare, les percus, et la maîtrise des machines, ça donne toujours beaucoup de justesse et un don pour chauffer une salle. Puffin est l’un de leurs membres et son live house bouillant sera le meilleur des tremplins à l’Irish man in Paris.

BWI-BWI
Pas d’intox alimentaire après un passage chez Bwi-Bwi, don’t worry. Mélanges d’old school, de moderne, de petites mélodies groovy, de funk, Bwi-Bwi, producteur productif, jongle entre les congas et les synthés et nous offrira pour sûr un warm-up XXL.

Bonnie Lisbon
Habituée des nuits parisiennes, et ayant joué pour de nombreux collectifs, la jeune femme maitrise l’art de la distorsion et le rythme effréné de la musique qu’elle accompagne.
Maniant aussi bien ses machines que les images qu’elle rapporte des quatre coins du globe, elle a à coeur de faire voyager le public et proposer des expériences immersives afin de décupler l’ambiance sonore enveloppant les danseurs.

16 Juin à 19H30
Electro
PLAID + TRYPHEME (LIVE)
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PLAID (UK – Warp Records)
Ed Handley et Andy Turner grandissent au son des débuts du hip-hop et de la house. Aussi peu passionnés par le heavy metal que par la pop sucrée du moment, les deux adolescents enregistrent leurs propres mixes sur cassettes à partir des émissions des radios alternatives londoniennes ou des playlists de John Peel.
À la fin de la décennie, Handley et Turner emménagent à Londres où ils forment The Black Dog. Après quelques maxis, The Black Dog se transforme peu à peu en Plaid, avant tout le projet des deux amis.
Warp Records, intrigué par le talent et l’amitié qui lient le duo, lui demande de rejoindre ses rangs d’artistes.
Ils incarnent encore aujourd’hui le côté ludique et joyeusement foutraque du label Warp.

TRYPHÈME

27 Juin à 20H
Rock
Pionniers du punk rock, les Dead Boys, célèbrent le 40ème anniversaire de leur premier album, Young, Loud and Snotty, avec une tournée mondiale et un ré-enregistrement de l’album.
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Dead Boys
Le guitariste Cheetah Chrome a toujours inclus les morceaux des Dead Boys dans ses sets solo. A l’approche du 40e anniversaire de Young, Loud and Snotty, il contacte Johnny Blitz, le batteur des DEAD BOYS, et ils embarquent dans l’aventure Jason Kottwitz à la guitare, la légende punk de Detroit Ricky Rat à la basse, et le chanteur Jake Hout.
« Je chante les chansons des Dead Boys moi-même depuis 20 ans parce que je n’arrivais pas à trouver un chanteur en qui j’avais assez confiance » dit Chrome. « Le premier concert avec Jake, c’était genre, « Whaouh » Je pense que Stiv serait très fier de notre choix. »
Formé à Cleveland en 1976, les Dead Boys furent l’un des premiers groupes américains à combiner le protopunk de groupes comme les Stooges ou les New York Dolls avec un niveau d’énergie encore plus intense. Ils rejoignent New-York et le CBGB sur l’invitation de Joey Ramone et se font rapidement connaître par leurs performances scèniques outrageuses.
Le premier album Young, Loud and Snotty sorti en 1977, est un album phare de la naissance du punk et produit l’un des premiers grands hymnes punk, « Sonic Reducer ».

The Ghost Wolves
Les Ghost Wolves sont originaires d’Austin et sont tout crocs dehors, guitares hurlantes et batterie à fond. Le nom du groupe reflète les sons féroces et primaires tirés de la batterie de Jonny Wolf et de la guitare de Carley Wolf, et fait référence à l’éducation de Carley parmi les chien-loups sur le ranch de sa famille.
Le duo s’inspire d’une variété de styles américains – blues, rock’n’roll, swamp-boogie à la Bo Diddley – et les transforme en un hybride qu’ils appellent « stomp’n’roll ».
Leur show est hypnotisant, explosif. Leur son se faufile dans les fissures entre le blues, le rock’n’roll, le noise, le punk et l’Americana.

—  Source partenaire

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