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Soprano à la « voix fraîche et sensible » (Opéra magazine, février 2020), Amélie Tatti grandit à Bastia et se passionne très jeune pour la musique à travers la pratique du piano et de la comédie musicale. Elle découvre également les arts du cirque et se spécialise dans le trapèze et le tissu aérien.
Après une licence de musicologie obtenue à la Sorbonne, elle obtient son diplôme de concertiste à l’École Normale de musique de Paris. En 2020, elle est lauréate de la Fondation Royaumont.
Elle s’est déjà produite dans des rôles comme Susanna et Barbarina (Le Nozze di Figaro), Despina (Così fan tutte), Zerlina (Don Giovanni), Papagena (Die Zauberflöte) de Mozart, Amour dans Orphée et Eurydice de Gluck, Belinda et la 1st Witch dans Dido & Aeneas de Purcell, Zémire dans Zémire et Azor de Grétry avec Les Paladins sous la direction de Jérôme Corréas dans une mise en scène de Mireille Larroche, La Musica dans l’Orfeo de Monteverdi dans une production des Bouffes du nord mise en scène par Samuel Achache et Jeanne Candel, Eurydice dans La Descente d’Orphée aux enfers de Charpentier sous la direction musicale de Jean-Sébastien Beauvais et scénique de Sol Espeche, Santa Editta dans l’oratorio éponyme de Stradella ou encore le prince Alexis dans L’Île de Tulipatan d’Offenbach, Gabrielle dans La Vie parisienne, Mi dans Le Pays du sourire (Lehar) à l’Odéon de Marseille, Catherine dans Pomme d’api (Offenbach) et Atala dans Le Singe d’une nuit d’été dans une mise en scène d’Yves Coudray et direction Chloé Dufresne dans les Opéras de Toulon, Avignon, Nice et Odéon de Marseille.
Lors de la saison 2019-2020, elle crée le rôle-titre de Poil de carotte à l’Opéra de Montpellier dans une mise en scène de Zabou Breitman et sous la direction de Victor Jacob.
Appréciée pour ses talents de comédienne qu’elle marie à une vocalité assurée, elle est choisie pour incarner deux premiers rôles féminins de Molière tout en chantant dans les mêmes spectacles le grand répertoire d’opéra (L’École des femmes et Les Précieuses ridicules).
En 2022, elle est lauréate d’une bourse Menda attribuée par l’Opéra-Comique, et remporte le prix du public ainsi que le Grand prix de la Musique contemporaine à l’unanimité du jury au concours Enesco. En 2023, elle reçoit le prix Corsica lirica du concours du même nom.

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